mercredi 22 août 2012

Photos de Vacances

Mon lecteur-ma lectrice, si tu lis ce message (et qu'il est en première page des Bavardises), cela signifie que je suis partie... en vacances!!! :D

Histoire de te faire patienter, et parce que je ne suis pas certaine de tout pouvoir te raconter bien comme il faut, je vais te mettre quelques photos au jour le jour! (mais ça veut pas dire tous les jours non plus hein...? parce que sinon, c'est plus des vacances!)... Et comme la nature est bien faite, et les têtes des ingénieurs du ouèbe vachement bien pensées, ça devrait se mettre à jour automatiquement juste là en dessous (oui, pour l'instant, il n'y a rien, c'est normal, je ne suis pas encore partie!)(Tu noteras que j'ai employé le conditionnel, parce qu'avec l'informatique, on n'est jamais vraiment sûr de rien... même si c'est binaire, c'est quand même vachement aléatoire). N'hésite pas à cliquer si tu veux voir mes commentaires de folie!

Sur ce, je te dis à bientôt, parce que j'ai encore ma valise à terminer! ;)


jeudi 16 août 2012

Tais-toi!

Voilà, j'avais dans ma musette des billets presque prêts, mais pas tout à fait... boulot oblige. Alors normalement, ça devrait un peu bouger dans les semaines à venir... 
Tu ne croyais quand même pas que j'allais tout te donner en une fois non?! ;)


Mon lecteur, ma lectrice, depuis quelques temps, je ne cesse de me répéter dans ma petite tête "Surtout Tais-toi! Ça ne se dit pas...". Oui, parce que moi et moi on papote assez souvent. Et en général, cette petite phrase a la voix de ma maman (comme "Tiens-toi droite" ou encore "Range moi ce bazar"... oui, je sais, c'est pas le mot bazar qu'elle disait, mais je n'ai pas envie de dire des grossièretés aujourd'hui. Non mais.).
Tu me vois venir avec mes gros sabots hein?!
Alors puisque je n'ai pas le droit de les dire tout haut, eu égard au fait que je tiens à conserver un minimum de vie sociale et professionnelle, et que le gilet pare-balle ne sied à personne à part John Mc Lane (Gniiiiiiii.. hum, désolée), j'ai décidé de te les écrire à toi... parce que ça fait tellement du bien quand ça sort!

"Tu pues, fais quelque chose par pitié je suis au bord de l'asphyxie". Celle-là, en général, tu as envie de la dire dans les transports en commun qui impliquent un temps de trajet proportionnel à la puanteur et à la proximité du gars qui schlingue (ou de la nana, parce que l'odeur n'a pas de préférence sexuelle... mais je te rappelle que nous les filles, quand on pète ça sent la rose et on chie des paillettes. D'abord. Non mais. Comment ça j'avais dit pas de grossièretés?). Mais, parce qu'il y a toujours un mais, il arrive que tu brûles d'envie de la dire à un(e) (oui, je vais pas la refaire, hein, fille-rose-paillettes... Capice?) collègue de travail! Et là où ça se corse, c'est que plus les jours passent, plus tu te retiens de le lui dire, et plus la petite phrase grossit dans ta tête, pour exploser un jour en un "Non, mais c'est pas possible de refouler comme ça! Tu te laves avec du Munster ou quoi? On va bientôt devoir venir avec des masques à gaz au bureau si ça continue!" Tu n'aimes pas faire pleurer les gens, alors tu te tais. Et tu lui achètes un déo que tu poses discrètement sur son bureau avec un gros noeud rouge. Non, parce que là, quand même, fallait faire quelque chose...

"Non, là, j'ai pas envie de te rendre service" parce que ça fait genre 48 fois que tu me demandes un truc, et qu'en général, ce truc qui t'aurait-pris-une-heure-mais-à-moi-qui-sait-si-bien-faire-ça-va-me-prendre-deux-minutes, eh bien il me bouffe la moitié de l'après-midi parce que tu me files un document que tu as trifouillé n'importe comment et qui ne correspond plus du tout au modèle que je t'ai donné il y a à peine 2 jours (mais "quoi le baise" comment tu as fait ton compte?!). Magie: il y a un échappatoire! "Non, mais là j'ai un dossier urgent à rendre au boss pour il y a 1 semaine, je ne peux pas!". Fail si le boss est en congés...

"Dégage de mon bureau ça fait trois quarts d'heure que tu me saoules avec tes histoires j'ai une vie moi après le boulot." Celle-là, elle est réservée au collègue qui vient te voir juste au moment où tu tends la main vers ton sac, la fesse déjà en élévation d'un demi centimètre de ton siège, et que tu vois arriver avec un grand sourire dans l'encadrement de la porte. Venu de demander "où je trouve le dossier machin/t'aurais pas des trombones/[insérer ici n'importe quelle excuse bidon]", la discussion s'engage à partir du moment où tu lui répond "oui?". Parce que lui, le point d'interrogation, il ne l'a pas entendu. Et il a toujours mieux à raconter, ou pire, que ce soit des conditions de travail, ou des séminaires avec soirées cuites. D'ailleurs, puisqu'on en parle, j'allais y aller...

"Chez moi c'est 2... (jusque-là, c'est socialement convenable...)... pas 4 humides sur la joue avec ta moustache qui pique, en me tenant par le bras et avec un coup d’œil dans mon décolleté à chaque passage!" Tu te retiens même d'ajouter "Pouah! Beurk! Pas Glop! Vilain garçon! Hop, à la niche! Non mais!" mais tu es une fille bien élevée, pas lui apparemment...

"Et puis quoi encore?!" avec la variante "Tu veux pas 100 balles et un Mars?!" qui fonctionne très bien aussi. Dans ta tête. Parce que en vrai, ça donne à peu près "Euuuuh... pourquoi paaaaas... mais tu vois..." avec tes neurones qui fondent pour essayer de trouver une excuse encore une fois socialement acceptable pour éviter d'avoir à héberger pendant une semaine les 3 cousins de ta voisine et leurs 4 chiens (ou enfants, à un moment, tu as décroché, je te rappelle que tes neurones fondent...).
 

Et toi? C'est quoi la petite phrase qui te ferait un bien fou si tu la laissais sortir?

"Bonjour, j'm'appelle Quentin, j'suis de Montargis! T'as des yeux de cheval! J'aime bien les chevaux..." - trouvé ici

PS: je n'ai pas oublié les défis, ils se préparent pour la rentrée de septembre! :P


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mardi 5 juin 2012

C'est mon dernier... on partage?

Je n'aime pas le tennis. Entendons-nous bien, je ne déteste pas le tennis, c'est juste que je n'y porte aucun intérêt. Mon lecteur-ma lectrice, tu vas me dire que ce n'est pas bien grave et qu'après tout je fais bien ce que je veux, et tu aurais raison. Mais vois-tu, en ces temps où Roland Garros règne en maître à la machine à café et à la télé, dire qu'on ne suit pas le tournoi (ou pire, qu'on n'aime pas le tennis!), c'est comme dire qu'on ne va pas au cinéma pendant le festival de Cannes, ou encore qu'on n'aime pas le foot pendant la coupe du monde (tiens, ça aussi d'ailleurs, j'aime pas... en fait, je n'aime pas le sport, juste le XV de France! n_n ). Tandis que certains tentent encore de m'expliquer en quoi le tennis c'est génial, et encore plus les tournois (les premiers ont essayé, et ont vite arrêté, et là on est devenus amis...), moi, je vais t'expliquer pourquoi ne pas suivre Roland Garros, c'est bon pour ta santé!

1) Tous ceux qui suivent le tournoi (c'est à dire beaucoup, beaucoup de monde!) sont au mieux dans les gradins, mais pour la plupart devant leur poste de télé, accrochés à leur radio ou encore dans des bars qui retransmettent les matchs. Du coup, dehors, il n'y a plus grand monde, ce qui est une bonne nouvelle puisque tu peux shopper en paix, aller à la piscine, faire de galipettes en terrasse, et en plus, ce ne sont rien que des gens comme toi, c'est à dire qui s'en foutent royalement de qui a frappé la baballe jaune le plus fort!

2) Donc si tu rencontres le prince charmant dehors (c'est à dire pas dans un bar qui retransmet, hein)  pendant le tournoi, il est donc tout à fait probable que vous évitiez la dispute annuelle du "Laisse-moi regarder le match / Mais sors un peu que diable!". Déjà une de moins, c'est cool (mais ça n'évitera pas forcément le "Je veux pas aller manger chez ta mère"... on ne peut pas non plus tout avoir du premier coup!).

3) Pendant ce temps-là, toi, tu bronzes, tu achètes tout le perrier que tu veux pour boire en terrasse puisqu'il y en a plein les bars et les magasins (seul avantage), et quand arrive la fin du tournoi, tu as un joli teint hâlé, c'est à dire plus doré que celui qui a regardé le tournoi de son canapé et moins rouge que celui qui a eu l'immense bonheur d'assister aux matchs en plein air et qui par la même occasion se retrouve avec des zébrures diverses et variées (polo, casquette, lunettes, biaffine...) 

4) Tu peux sortir avec tes amis qui comme toi n'aiment pas plus le tennis que la pêche à la limande en kilt les nuits de pleine lune sans te sentir coupable de ne pas avoir invité tes autres amis qui eux aiment ça (le sport à raquettes, pas la pêche à la limande en kilt les nuits de pleine lune...) (oui, parce que ce n'est pas parce qu'ils ont arrêté de vouloir te convaincre qu'ils n'aiment plus ça...) et suivent donc assidûment le tournoi. Tout le monde est content, merci Roland.

5) Qu'on soit de n'importe quel côté du court, quand on est spectateur, un match de tennis, ça se résume à tourner la tête de gauche à droite pendant autant de sets que les joueurs en face sont capables de jouer sachant qu'ils ont tous très très très envie de gagner et qu'ils font tout pour que ça dure le plus longtemps possible. C'est à dire 3 heures, parfois 5, et desfois même plus. Résultat, le lendemain de la finale, les kinés sont pris d'assaut, les pharmacies dévalisées de toutes les pommades anti-inflammatoires et autres minerves. Comment ça j'exagère? Je t'ai dit que je n'aimais pas le tennis, alors je ne peux pas vraiment savoir... Tout ce que je sais, c'est que je n'ai jamais eu de torticolis, ou du moins, pas à cause de Mr Garros!

6) Je sais compter. Jusqu'à très loin vers l'infini et au-delà. Alors entendre des gens payés des fortune compter n'importe comment (si, 15-30-40-A, c'est compter n'importe comment! Et ça me fait aussi saigner des maths...), là, j'ai juste pas envie... Imagine si des enfants regardent les matchs, il sauront aussi bien compter que des ados qui passent le bac de français comme ils écrivent des sms!


Alors, mon lecteur-ma lectrice? On va boire un coup pendant que les autres regardent Kinder regretter sa campagne de pub? ... Mon lecteur-ma lectrice? ... Il y a quelqu'un? ... T'es devant le match toi aussi?!


Bon, ben je n'ai plus qu'à aller shopper moi... n_n On se retrouve dans [Insérer ici la durée entre maintenant et la fin du tournoi, parce qu'au cas où tu n'aurais pas compris, je ne sais pas quand ça se termine cette histoire!] jours!


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mardi 22 mai 2012

Mes collègues, mon boulot, mes emmerdes... - Episode 4: Bonjour, je suis le nouveau stagiaire!

Mon lecteur-ma lectrice, je viens d'hériter dans le bureau face au mien d'une jeune stagiaire. Quand je dis hériter, ce n'est pas tout à fait juste car bien qu'elle utilise le bureau d'en face, elle ne travaille pas avec moi mais avec des collègues à moi. Elle est très gentille, donc je ne peux pas dire des méchancetés sur elle (zut alors!), mais du coup, ça me rappelle l'époque où j'avais une stagiaire, qui travaillait pour avec moi mais je n'avais pas encore ce blog pour t'en parler. Comme je n'aime pas dire du mal pour dire du mal, ou du moins, pas officiellement, j'ai décidé de te faire une petite liste  des choses qu'on peut/ne peut pas dire à un(e) stagiaire qui arrive dans son service...
  • "Si tu as des questions, n'hésite pas à me les poser!". Dans approximativement 2 heures, tu regretteras amèrement cette phrase. Dans 4 jours, tu épieras le couloir à chaque pause pipi-café-clope pour l'éviter. Son stage dure 18 semaines. Penses-y, et réfléchis la prochaine fois que tu ouvres la bouche!
  • "Bien sûr que je peux te montrer comment fonctionne le copieur-scanneur-imprimante-en-réseau.". Bon, même toi, tu n'as pas tout compris au fonctionnement de cette diabolique machine, mais il ne faut jamais montrer sa peur devant l'ennemi. Et puis l'ennemi est ignorant, alors profites-en!
  • "La cafetière est ici, en général on prend le café ensemble vers 9h". Traduction: "Oui, tu peux venir le prendre avec nous. Non, on ne va pas te manger. Oui, par sécurité tu peux amener des gâteaux."
  • "Bien sûr que je peux te re-montrer comment fonctionne le copieur-scanneur-imprimante-en-réseau." La diabolique machine a encore frappé... mais qu'à cela ne tienne, j'aime voler au secours des  jeunes gens en détresse!
  • "Non, tu ne peux pas écrire "Le choix était porté sur ces procédures pour la simple raison qu’en phase de conception, certains documents et programmes étaient déjà établis, et comme tout projet est évolutif, la réalité actuelle en phase travaux, nécessite certaines modifications d’où la nécessité d’en créer." [NDLR: texte véridique]" Tu saignes de la syntaxe, mais tu gères. Tu brûles d'envie d'ajouter "Ca y en a pas être français. Toi comprendre?" mais tu te retiens. Si, tu te retiens. Respire, ça va aller.
  • "Bien sûr que je peux te re-re-montrer comment fonctionne le copieur-scanneur-imprimante-en-réseau." Ah, quand je le disais que c'était une biiiiiiiiiiiip de machine à la biiiiiiiiiiiiiip. Euh, c'est quelle couleur "cyan"? Qu'est-ce que tu dis Martine? Ne surtout pas quoi le toner qui était dans la machine? - Pouffffff! - Ah, c'était ne pas secouer c'est bien ça Martine? ... Note pour plus tard: passer chez le teinturier, et offrir le café à vie à Martine pour s'excuser d'avoir transformé son bureau en maison des schtroumpfs.
  • "Oui, je suis certaine qu'il y a deux P et deux M à apparemment. Et pas de S à la fin des verbes du 1er groupe conjugués à la troisième personne du singulier. Il fait combien de pages déjà ton rapport?" Tu prévois de mettre dans le cadeau de départ un Bécherelle, et d'anticiper en en achetant un d'avance pour le prochain stage... Variante "Tu as fait quelle filière déjà? Littéraire? Ah..." ou encore "C'est un stage de Master que tu fais c'est bien ça? Pas de CE2?" Tu prévois d'écrire à l'éducation nationale. Si. Non, il n'y a qu'un L à nationale!
  • "Raaaaah, saleté de machine qui ne veut pas m'imprimer mon document! Dis, tu peux me donner un coup de main?" L'élève a dépassé le maître. Si c'est bien là le but des stages, avoue que quand même, là, tu l'as mauvaise... Si. Allez. Tiens, voilà un mouchoir. Mais si tu vas y arriver à le sortir en A3 couleur recto-verso ton papier... Pleure pas va...
  • "Donc ceci est de la part de toute l'équipe pour te remercier du travail accompli pendant ces 18 semaines de stage... {insérer ici le discours du patron lors d'un pot de départ}, et en espérant avoir de tes nouvelles!" Non, parce que finalement, on s'y attache à ces stagiaires... Il arrive quand le prochain déjà? Dans 6 mois? Note pour plus tard: poser des congés...

Alors il paraît que les stages, c'est l'enfer, mais pas que pour les stagiaires! Et toi, mon lecteur-ma lectrice, tu lui dis quoi au petit jeune qui débarque? Parce que je suis certaine que toi aussi, tu en as dans ta musette... ;-)

Dans le prochain épisode, ces petites choses qu'on rêve de pouvoir dire à ses collègues... mais qu'on ne leur dira jamais, parce qu'on est civilisés! ;-)


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lundi 21 mai 2012

Défi N°4 - Il est 5 heures, It's up to you...

Mon lecteur- ma lectrice, comme promis, je me suis attaquée au premier défi, qui porte le numéro 4, ce qui est d'une logique imparable! Je vais reformuler ça parce que je te vois sceptique... Je me suis donc attaquée au premier défi que tu m'as proposé, parce que les 3 premiers, c'est moi qui les ai donnés pour l'exemple... Ça va mieux comme ça? Ce qui ne veut pas dire que je ne les ferai pas, mais après les tiens ou quand il fera moche!

Donc, le défi numéro Quatre, proposé par Benoît était le suivant: "Prendre, sur la même photo, les symboles des États-Unis d'Amérique et de la France à savoir la Statue de la liberté et la Tour Eiffel !"Heureusement qu'il a précisé, parce que moi, comme ça, j'aurais été à l'ambassade des États-Unis, pour prendre les 2 drapeaux côte à côte... mais qu'à cela ne tienne, je vais y arriver!

Alors, comme la terre est ronde, et qu'entre Paris et sa tour Eiffel, et New York et sa statue de la Liberté, il y a environ un océan et le Titanic, je me suis demandé comment faire sans pour autant partir sur la station Mir (d'ailleurs, elle existe toujours?!). Et là, je me suis rappelé que la Statue de la Liberté était... française! Et que nous en avions la première version "d'essai" à Paris, en bien plus petit, même si je n'ai jamais vu la vraie, j'ai quand même vu Ghostbusters 2... oui, je sais côté culturel, on a déjà fait mieux. Mais tu arrives à faire danser un toaster toi? Non. On est d'accord... Je continue.

J'ai donc fait appel à mon ami Google pour retrouver où était cette statue, parce que si on la voit dans un des Benjamin Gates (oui, je sais, je regarde trop la télé... ), ils ne disent pas vraiment où elle est, si ce n'est au milieu de la Seine, et la Seine, à pieds, c'est long ... Si. J'ai essayé. C'est long. Et un tantinet humide...

Grâce à notre ami à tous Internet (mais surtout Google hein... on est d'accord), j'ai trouvé une carte et j'en ai déduit que l'endroit le plus approprié pour prendre une photo était:
  • soit un pont,
  • soit un bateau mouche, mais il faut être quand même vachement rapide pour prendre THE photo (oui, parce que si ça ne se voit pas très bien, j'essaie de te ramener des photos choupi et de qualité quitte à faire, mais c'est pas facile tous les jours), et ne pas avoir peur du touriste qui a le mal de rivière... genre ma sœur,
  • soit le milieu de la Seine, et là, il faut savoir marcher sur l'eau, et jusqu'à preuve du contraire, le dernier qui a fait ça est mort il y a bientôt 2000 ans.
J'ai donc opté pour le pont, le Pont Mirabeau (nous v'la beaux! ok, je sors...) en l'occurrence (oui, toi comme moi, on aura oublié cette information d'ici environ maintenant, mais c'est pas ma faute si on a une mémoire de poisson rouge!), et par extension le quai Louis Blériot. C'est ainsi que j'ai réussi à te rapporter la preuve que le défi est relevé... Si tu ne me crois pas, vérifie par toi-même:


Aller, encore une petite pour la route, et en couleurs cette fois-ci!


Et puisque j'étais partie avec mon appareil photo, je ne me suis pas arrêtée là... ça aurait été trop dommage non? ;)

  

 
Bon, maintenant, je n'ai plus qu'à me frotter au défi n°5... Si tu ne sais pas ce que c'est, va voir par ici, et profites-en pour ajouter le n°6, ou 7, ou 8... ;)


PS: cette note a mis longtemps pour arriver, mais ce n'est pas (totalement) ma faute... J'avais perdu le câble pour décharger les photos dans un carton, mon lecteur de cartes ne voulait pas (et ne veut toujours pas d'ailleurs) lire ma carte mémoire, et pour couronner le tout, Monsieur Blogger ne voulait pas mettre les photos dans le bon sens... Mais c'était sans compter sur mon sens de l'honneur face à un défi! ;)

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mardi 17 avril 2012

En travaux...

Mon lecteur-ma lectrice, ne prends pas peur! Tu ne t'es pas trompé de porte, c'est toujours chez moi par ici...

Seulement, j'avais envie de faire des petits travaux de déco, alors ça risque de changer pas mal dans les jours à venir! Surtout, reste dans le coin, ne touche à rien, et mets ton casque et ton gilet fluo... Comment ça "C'est moche le gilet jaune!"?! On ne discute pas!

(Tiens, j'entends quelqu'un qui arrive... " Donc, mes chouchous mes lapinous, on va coller des stickers un peu partout, vous inquiétez pas, j'ai de la peinture en bombe, on va s'éclater, on va tout péter!" Euh, attendez une minute...)

Donc, je disais... Promis, il n'y en a pas pour très longtemps, et dès que j'ai fini, je vire la blonde en salopette du blog, et on reprendra une discussion normale...

("Mon Francky, tu vas commencer par péter la cloison là, et on va faire une discothèque, et toi mon chérichou, tu me démontes la baignoire, on va mettre une volière à la place! Allez hop hop hop!")

Bon, tu m'excuses, mais je dois filer, je sens que si je la laisse faire, elle va tout casser!!!

(Eh oh, vous, là-bas, j'ai deux mots à vous dire! Comment ça "je regarde pas"?! Je veux que je regarde! Et reposez-moi tout de suite ma baignoire!!!)

Et si tu as des commentaires à faire en cours de route, n'hésite pas! Après tout, c'est toi qui lis les billets que j'écris tout beaux et en couleur et avec des belles photos toussa-toussa... :)


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lundi 16 avril 2012

Un p'tit creux...

J'ai comme un creux. Juste là. 

Mais je ne sais pas un creux de quoi. Enfin, si, je le sais, mais je ne peux pas y faire grand chose. Je crois. Ou plutôt, je préfère croire que je ne peux rien y faire.

Ça fait un moment qu'il est là. Depuis toujours probablement. Et finalement, je l'aime bien. Je ne l'ai pas senti tout de suite. Et puis il a grandi. Vite. Vraiment vite.
Alors j'ai voulu le remplir. Un peu. Pour qu'il redevienne plus petit. Mais il a continué de grandir. Et plus j'essayais de le remplir, plus il grandissait. 
J'ai pensé que je ne devais pas faire comme il faut. J'ai voulu le remplir plus vite. Mais il grandissait toujours.
Et puis j'ai réalisé que je devais le remplir avec autre chose. Mais avec quoi?
Il était déjà trop tard. J'avais fini par le faire déborder. Sur mes hanches. Sur mon ventre. Sur mes bras. Et mes joues. Alouette. Aaaaah!
Et pourtant, il était toujours là. Je débordais, et le creux était toujours là.
Il faut que j'arrête de vouloir le remplir. Que je le laisse exister. Rétrécir. Un peu. Mais exister. 

Pour qu'un autre puisse venir le combler. Un peu. Beaucoup...

J'ai comme un creux. Juste là...


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